Cette réserve naturelle des gorilles se trouve dans le secteur Sarambwe, à quelques 100 km au nord de Goma dans le territoire de Rutshuru, en province du Nord-Kivu. Elle est située à cheval sur le parc national des Virunga et la forêt impénétrable de Bwindi, en Ouganda.
La forêt de Bwindi, avec près de 10Km2, loge des gorilles de montagnes exposés aux nombreuses menaces mettant en danger leur survie. asics gel lyte 3 nero uomo
Ces gorilles sont entre autre menacés par des incendies et la coupe des bois et l’agriculture.
On en sait un peu plus sur la réserve de Sarambwe. nike air max 2016 blauw Inconnue presque du grand public, ce domaine est soumise à une forte pression humaine. Nike Air Huarache damskie De plus en plus des riverains l’exploitent illégalement pour satisfaire à leurs besoins, rapporte le CEPED (Centre d’éducation pour la protection de l’environnement et le développement durable).
Selon cette association à but non lucratif, les activités humaines y sont intensifiées, à la lumière de la coupe de bois pour le sciage des planches, l’agriculture et le braconnage… L’inquiétante conséquence, selon, Jacques Bahitirye, chargé de communication au sein du CEPED, est que les quelques individus des gorilles se trouvant dans cette réserve de Sarambwe sont étouffés et risqueraient de se réfugier de l’autre coté de la frontière, en Ouganda : « cela suite à la perte et la fragmentation de leur habitat”, explique-t-il.
La survie des gorilles est en danger
« La faune et la flore disparaissent petit à petit. Nike Kevin Durant La menace est imminente pour les gorilles de Sarambwe. Non seulement ils risquent de perdre leur habitat naturel, mais ils sont autant pourchassés », affirme Jean-Paul Kambere, le pisteur le plus influent qui surveille depuis 15 ans, les gorilles de ladite réserve. Curry Due Bambini Ce dernier indique que si rien n’est fait dans un bref délai, la réserve de Sarambwe ne restera plus que l’ombre d’elle-même.
A en croire le rapport de la dernière descente opérée dans la réserve de Sarambwe par le CEPED, il y aurait en ces jours, au moins 27 individus de gorilles groupés en trois familles dont l’une tente de partir déjà dans la forêt impénétrable de Bwindi en Ouganda-voisin. Matthew Stafford Jerseys « Ce qui fait encore très peur ce qu’il y a des feux qui ont récemment été largués dans la réserve et qui ont brulé un espace considérable à l’intérieur même de la réserve laissant fuir les gorilles », renchérit le CEPED.
Par conséquent, les gorilles ne sont plus très visibles dans la réserve de Sarambwe et les signes de leur présence ne sont plus largement repartis, renseigne le pisteur en chef Jean-Paul Kambere. Il ajoute qu’en suivant les gorilles, il trouve assez souvent des pièges qu’il détruit directement sur son passage, mais également du sang, indice de braconnage dans ce secteur.
Du coté de l’Institut congolais de conservation de la nature (ICCN), on reconnait que la réserve de Sarambwe est dévastée. Julio Jones Jersey Mais son chargé le chargé de communication Joël Wengamulayi s’est contenté de répondre par l’affirmatif sans en dire plus.
La réserve de Sarambwe
Son histoire remonte des temps anciens, raconte un sexagénaire dans les encablures de Sarambwe. sac à dos fjallraven kanken Avec ses 10km2, il est hors du parc national des Virunga, mais il n’est pas très éloigné de celui-ci. Communautaire au départ, la réserve de Saramwe a été créée en 2003 sous l’arrêté départemental numéro 16/RDC/DP-AGR-DR /03 du 26 juin.
De part les sollicitations exprimées par des populations locales à travers leur structure de base dénommée Réserve communautaire des gorilles de Sarambwe (RECOGOSA), en vue de la préservation de l’écosystème, la réserve naturelle a été confirmée quelques années plus tard par l’arrêté ministériel numéro 037/CAB/MIN/ECN-EF/2006 du 11 octobre 2006. Bo Wallace – Ole Miss Rebels Entre-temps, sa gestion est passée des mains de la communauté locale à l’ICCN avec comme objectif d’assurer la protection de sa faune et sa flore tout en n’y favorisant la recherche scientifique et le tourisme dans le respect des principes fondamentaux de la conservation de la nature.
Depuis, des organisations non gouvernementales travaillent dans la réserve, notamment le CEPED en collaboration avec l’Ong française « ObjectifBrousse » encadre les pisteurs qui assurent la surveillance des gorilles dans ce secteur. « Le CEPED et ObjectifBrousse se chargent de payer les frais scolaires pour nos enfants, ils nous ont également doté des tenues et des bottes, mais aussi d’un téléphone portable pour la communication.
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Déplorons la non participation de nous population locale à la gestion de cette réserve jadis nos champs,pris en otages par l’Institut congolais pour la concervation de la nature avec la complicité des chefs coutumiers de bwisha, à titre d’exemple Virunga énergie dans son projet d’électrification,mon village de sarambwe n’a jamais bénéficié de ce projet, nous comptons saisir le gouverneur du Nord -kivu, le D.G de l’iccn, des O.N.G environnementales pour plus de réponses quand à ce.
Voulons notre participation effective à la gestion de notre réserve naturelle de sarambwe, nous voulons dans les jours rencents mettre Sarambwe dans le projet d’électrification, nous voulons saisir toutes les autorités à tous les niveaux pour leur informé sur notre calvaire, mépris,…