Le Centre de recherche forestière internationale (CIFOR), qui travaille dans la deuxième forêt tropicale du monde en termes de superficie, amorce en République démocratique du Congo (RDC) son plus important projet à ce jour en matière de développement et de renforcement des capacités. Maglia Carmelo Anthony Constituant la prochaine phase de la collaboration entre le CIFOR et l’UE en RDC, ce projet financé par l’Union européenne s’organise autour de deux axes d’intervention : Yangambi, réserve de biosphère de l’UNESCO, et la faculté des sciences de l’Université de Kisangani. La réserve de Yangambi qui s’étend sur 250 000 hectares présente une biodiversité foisonnante, mais elle est confrontée à de multiples pressions de la part des communautés locales composées de cultivateurs qui pratiquent la culture itinérante et de commerçants qui vendent les produits forestiers. new balance grigie bambino Portant sur la formation, la recherche et l’environnement dans la (province de la) Tshopo, le projet FORETS viendra en aide aux populations de cette zone en vue d’une meilleure gestion des ressources naturelles et comportera aussi des actions de conservation et de recherche dans la réserve et ses alentours. Nike Flyknit Air Max Femme
Ces travaux seront alimentés par les données empiriques réunies par plusieurs cohortes d’étudiants de troisième cycle formés à l’Université de Kisangani. Scientifique au CIFOR et superviseur des activités universitaires du projet à Kisangani, Christian Amani a déclaré : « Cette nouvelle phase est très intéressante, car elle permettra d’étoffer le nombre de professionnels congolais et de scientifiques très qualifiés qui appréhenderont beaucoup mieux le secteur forestier et seront prêts à s’atteler aux divers problèmes du pays dans les domaines de l’environnement et du développement. adidas zx flux mujer » Ces scientifiques formés apporteront au pays une approche holistique qui alliera la biophysique à la gouvernance des ressources naturelles, grâce aux deux grands volets de l’étude : ‘‘homme-forêt’’ et ‘‘forêt-environnement’’. Ryan Kerrigan Redskins Jerseys
À Yangambi, il est prévu des formations en gestion du territoire et des ressources naturelles, en plantation d’arbres et en recherche appliquée et ciblée dans une ville qui fut, en son temps, la plus grande station de recherche tropicale du monde. Cette station ayant progressivement perdu de son importance au fil des décennies, le CIFOR s’emploiera à poursuivre et revitaliser les travaux scientifiques réalisés dans la réserve. Les travaux prévus dans le cadre du projet à l’Université de Kisangani, située sur le fleuve Congo à 90 kilomètres à l’Est de Yangambi, visent à rapprocher les chercheurs des populations qui vivent dans les espaces qu’ils étudient. Mujer Air Jordan 5 Le CIFOR accompagnera des étudiants congolais en master et en troisième cycle, soutiendra la recherche à l’université et fournira une infrastructure et des outils scientifiques indispensables. En formant la prochaine génération de chercheurs congolais dans le domaine des forêts et des paysages, le projet permettra de mettre en place un vivier essentiel d’experts dans l’optique d’améliorer la gestion des ressources naturelles du pays. Air Jordan 7 Uomo Ce projet quinquennal aura le double objectif de stimuler le développement économique dans des zones qui en ont bien besoin et aussi de limiter les impacts sur l’environnement, ces objectifs se retrouvant également dans les quatre autres grands projets financés par l’UE en RDC. « Les abondantes ressources naturelles du pays sont menacées par le changement climatique, et le projet FORETS s’attachera à minimiser ces risques qui pèsent sur les populations et l’environnement en protégeant les forêts et en améliorant la gestion forestière, » a indiqué M.
Bonjour comment ce Daudet Ndambi ingénieur agronome comment suis volontaire pour tout le conditions générales d’utilisation en RDC