Il n’existe pas de « diamant de sang » en RCA. Une affirmation du gouvernement en réaction au rapport d’Amnesty International publié en fin septembre dernier. A Bangui, le gouvernement

Le rapport d'Amnesty International dénonce plusieurs autres pratiques abusives dans le secteur du diamant, telles que le travail des enfants et les pratiques fiscales contestables. Photo/Amnesty International

Le rapport d’Amnesty International dénonce plusieurs autres pratiques abusives dans le secteur du diamant, telles que le travail des enfants et les pratiques fiscales contestables. Photo/Amnesty International

centrafricain réagit au rapport de l’ONG Amnesty International sur le secteur du diamant dans le pays. Le 30 septembre dernier, l’organisation avait rendu public un rapport intitulé «Violation en Chaîne. La chaîne d’approvisionnement mondiale en diamants et le cas de la République Centrafricaine ».

Ce rapport dénonce plusieurs autres pratiques abusives dans le secteur du diamant, telles que le travail des enfants et les pratiques fiscales contestables. Lors d’un point de presse tenu à Bangui ce vendredi 09 Octobre 2015, Joseph AGBO, ministre des Mines et de la Géologie, affirme que le gouvernement est surpris du contenu de ce rapport. Selon le membre du gouvernement, son département maîtrise la traçabilité de ces ressources minières. Donc, il n’existe pas de « diamant de sang » dans le pays.

Il répond aux question du correspondant d’InfoCongo à Bangui, Bienvenu GBELO.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *